Caractère:

Tout d'abord, on peut affirmer que la belle minette est lunatique. Quelques fois, le matin, elle se lèvera de bonne humeur et voudra faire des calins au monde entier, et d'autres fois, 'Aube enverra pêtre tout être qui osera lui parler. C'est comme ça, même elle ne sait pas la raison de ses revirements de caractère. Elle peut aussi très bien être riante et amicale et passer à la seconde d'après en mode "foutez- moi la paix, je vous ais jamais demandée de vous ramener!". La minette caractérielle est en plus pas mal suceptible. Et chaque remarque, elle le prend pour une critique. Inutile de vous dire qu'ele ne prend pas très bien les critiques... Enfin. Il est vrai que Nuage de l'Aube a tout de même quelques bons côtés! Dans ses moments d'amabilités (qui sont tout de même plus fréquents que ses moments associables...) elle peut être très drôle et gentille, d'une fidélitée sans borne et d'une générositée plus qu'agréable. Depuis toute petite, 'Aube est très discrète. Aussi, quand les conversations auquelles elle assiste parfois l'ennuient, elle saura se débiner sans même alerter le plus attentif des guerriers. Cette qualitée (ou ce défault, prenez le comme vous le voudrez x) ) peut aussi être très utile en chasse ou bien en espionnage.

Physique:

Une silouhète féline apparait dans la brume du matin, ses longues et fines pattes foulant le sol. Elle se déplace, légère, légère, sa démarche souple la fait se déplacer avec agilitée et facilitée, fluide comme un mirage. Son pelage roux tacheté de brun roule sur ses épaules, enveloppant des muscles fins. En y regardant de plus près, on peut apercevoir ses yeux bleu incroyablements clairs, deux prunelles de glace brutes et intimidantes. Le regard fixé sur un objectif bien définit, La belle féline se tapit soudain au sol puis saute, gracieuse sur la petite boule de fourrure cachée dans les hautes herbes.

Vraiment, l'enfance de cette petite boule de poils n'aura été que desespoir et accablement. Son histoire en est triste a pleurer. voulez-vous vraiment la connaitre? bien, à vos risques et périls...

Petite Aube naquît un beau jour de printemps. elle ouvrit ses beaux yeux bleus en même temps que le soleil se réveillait ce qui lui a valut son nom. sa couleur flamboyante y a été pour beaucoup aussi... bref! elle vivait ses premiers jours dans le doux cocon de l'insousciance avec une tendre maman et un frère chahuteur. elle ne connaîtra sans doute jamais son père, sa mère aillant refusée de révéler à qui que se soit son identitée. tout ce passait donc merveilleusement bien, jusqu'a ce jour maudit qui hantera Petite Aube jusque dans ses nuits de guerrière.

Un jour, alors que Petite Aube n'était agée que de 3 lunes, un cri strident déchira l'air. la petite féline cessa immédiatement son jeu avec son frère petit coton et leva la tête, inquiète. Un guerrier apparût à l'entrée de la pouponnière et s'écria, affolé:

"Des chats errants! ils nous attaquent! certains se dirigent vers la pouponnière!"

les reines commencèrent à sérrer leurs chatons près d'elles et à murmurer entres elles, inquiète. Tempète amère, la mère de Petite Aube se leva et déclara pleine de détermination :

" he bien! avant d'être des reines vous êtes avant tout des guerrières! vous n'avez rien à craindre de la part de chats errants! Tout ce que nous allons faire c'est nous enfuir par les buissons pour cacher les chatons. et dépêchez-vous, ou là, il faudra avoir peur!"

le petit discourd de la féline fit immédiatement effet. Le guerrier chargé de les prévenir prit délicatement Petite Aube dans la gueule tandis que sa mère se chargait de petit coton.

Petite Aube fût la première à quitter le camp car le guerrièr qui la tenait ouvrait la marche. Sa mère était tout derrière pour encourager les autres. En sécuritée sur un arbre, Petite aube regardait le scène d'un oeuil inquiet. Sa mère et son frère n'étaient toujours pas arrivés! Le guerrier, sentant son malaise lui lecha l'oreille et lui dit de rester à sa place. Sur ce, il redescendit et s'enfuit dans les fourrés en direction du camp. Se croyant invincible, la petite chatte descendit a son tour de l'arbre discrètement, faisant attention à ce que les autres reines ne la voit pas. *trop facile* pensa-t-elle. En chemain, elle se fit renverser par un chat errant qui battait en retraite. poussant un cri de victoire, elle s'élança vers le camp, persuadée d'y retrouver sa mère qui s'était courageusement battue. Au lieu de cela, ce qu'elle vit la secoua.

Les félins étaient tous en bien mauvais état. l'antre du guérisseur était bondé et le sol était jonché de poils et de sang. Sentant une nouvelle vague d'inquiétude lui nouer le ventre, elle gagna le centre du camp. De là, elle lança un regard circulaire tentant de trouver sa mère ou son frère. Ce qu'elle vit en premier, fût le pelage du guerrier, penché sur une masse sombre. Son sang se glaça soudain. En cet instant, plus rien d'autre ne compta que cette masse sombre, de la même couleur que sa mère. puis elle courût le plus vite que ses pattes le pouvaient. *pitié, non, pitié pas ça! j'ai encore besoin d'elle! j'aie encore besoins d'eux!* Quand elle arriva aux cotés du guerrièr, Petite Aube recconût sa mère étendue aux cotés de son frère, un halot sanglant les entourant. Elle hurla. grattant rageusement le sol, maudissant ces chats errants, maudissant tout ceux d'ailleurs, qui lui venaient à l'esprit. quand elle n'eut plus de force, plus de force pour crier, se débattre, et pleurer, elle s'enfouit en sanglotant contre sa mère, déjà froide.

Le soleil s'était couché depuis longtemps quand elle se reveilla. Elle avait faim et soif. Soudain, elle se rapella tout. Sa mère, la bataille, ses miaulements rageurs, le sang... elle se leva d'un bond. recconnaissant où elle était, elle fronça les sourcils. comment avait-elle pût atterir dans la pouponnière? croyant qu'elle avait fait un mauvais rêve, elle se précipita dehors. Mais elle compris bien vite que ce n'était malheureusement pas un rêve. Touts les chats étaient réunis au centre de la carrière et écoutaient. Elle même s'assit en retrait et écouta.

"Nous avons tous beaucoup perdus. Et cette petite a perdue sa mère. Il lui faut donc qu'elqu'un pour la nourrir et l'élever" *ils parlent de moi?* "... aussi, y a-t-il des reines ici qui voudraient l'adopter?

-moi! toutes les têtes se tournèrent comme un seul homme. j'aie perdu un chaton lors de l'accouchement, et j'aie trop de lait pour un seul chaton... Et puis, j'aie vu la souffrance de cette petite et je la comprend. Si bien sur elle est d'accord...

-oui, s'entendit-elle dire, je suis d'accord." Cette fois, ce fût vers la petite chatonne que les têtes se tournèrent, mais elle ne baissa pas la tête. Un nouveau sentiment venait de naître en moi. quelque chose qu'elle savait de puissant de dangereux aussi mais qui l'aiderait beaucoup pour la suite...
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